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quarta-feira, 21 de março de 2012
BLOG DO ALUIZIO AMORIM: POLÍCIA FRANCESA CERCA CASA DO TERRORISTA
BLOG DO ALUIZIO AMORIM: POLÍCIA FRANCESA CERCA CASA DO TERRORISTA: O ministro do Interior da França, Claude Guéant, desmentiu a prisão do suspeito dos massacres em Toulouse e Montauban , Mohammed Merah, m...
Ex-panicat Aryane Steinkopf anda nua em ruas de São Paulo para ensaio para a 'Playboy' - Yahoo! OMG! Brasil
Ex-panicat Aryane Steinkopf anda nua em ruas de São Paulo para ensaio para a 'Playboy' - Yahoo! OMG! Brasil
Ex-panicat Aryane Steinkopf anda nua em ruas de São Paulo para ensaio para a 'Playboy'
Container Conteúdo – 2 horas 17 minutos atrásl
A ex-panicat Aryane Steinkopf, que será capa da revista "Playboy" de abril, desfilou totalmente sem roupa entre carros, nas ruas da cidade de São Paulo, nesta quarta-feira (21).
A moça fotografava para o ensaio nu, e as imagens dos bastidores foram divulgadas pelo diretor de arte da "Playboy", Alexandre Ferreira, por meio do Twitter. Pelo local, estavam passando pessoas comuns, e a ex-panicat literalmente parou o trânsito.
Mais cedo, no mesmo dia, Alexandre Ferreira havia avisado sobre a nudez em público da loira. "Se você estiver em SP e encontrar uma linda mulher nua andando pela cidade... Não é sonho! É só PLAYBOY", escreveu no Twitter.
Aryane Steinkopf/Reprodução
Aryane Steinkopf/Reprodução
Vice-reitor do Unar diz que 113 polos foram criados sem autorização - notícias em São Carlos e Região
Liminar suspendeu cursos à distância da universidade em Araras, SP. Instituição não tem condições mínimas de qualidade, segundo MPF e MEC.
O vice-reitor do Centro Universitário Doutor Edmundo Ulson (Unar) de Araras, interior de São Paulo, José Marta Filho disse nesta terça-feira (20) que os 113 polos criados sem autorização da universidade são os responsáveis pelas irregularidades que resultaram na suspensão das atividades de ensino superior à distância, determinada por uma liminar da Justiça de Piracicaba, na segunda-feira (19). A universidade vai recorrer da decisão.
Os problemas nos cursos foram encontrados pelo Ministério Público Federal (MPF) e o Ministério da Educação (MEC). Além da baixa qualidade, faltava estrutura mínima para o desenvolvimento e aprendizagem dos alunos. “O MEC concluiu que sequer havia estrutura física adequada, havia prédio com goteiras e término de construção, não havia biblioteca e sala de informática, não havia presença de tutores para poder auxiliar os alunos”, disse a procuradora da república Heloisa Fontes Barreto.
Vice-reitor da Unar diz que polos foram criados
sem autorização (Foto: Reprodução/EPTV)
sem autorização (Foto: Reprodução/EPTV)
Além da sede em Araras, o centro tem uma unidade em São Paulo. O vice-reitor explicou que tudo isso aconteceu porque os divulgadores dos polos irregulares criados no Paraná, Santa Catarina e São Paulo agiram de má-fé. “Eles vendiam facilidades. Criavam os polos quando na verdade não deveriam fazê-lo. Assim que tivemos conhecimento dessa operação irregular, fomos a Brasília, comunicamos o ministério e fizemos um destrato jurídico com todos esses representantes", explicou.
No entanto, a procuradora explica que a responsabilidade é do Unar. “A pessoa que assinou esse tipo de contrato com uma instituição intermediando, não assinou contrato com essa instituição. O contrato é com a própria Unar”, disse.
Caso o centro descumpra a liminar, a multa é de R$ 10 mil por dia. Até que haja uma definição do recurso, a promessa do vice-reitor é que os cerca de 3 mil alunos que fazem cursos a distância não serão prejudicados.A liminar pede que o MEC não renove mais o credenciamento do Unar para os cursos a distancia e deixe de reconhecê-los. Além disso, se o aluno pedir transferência, a universidade tem que providenciar toda a documentação em até 30 dias.
Apesar disso, a procuradora alerta para que os alunos procurem seus direitos. “As pessoas que já terminaram devem procurar a instituição e ver se o MEC vai autorizar a expedição de diploma. As que estão cursando, eu aconselho a parar de pagar e tentar um ressarcimento junto o Unar”, disse.
Preso suspeito de matar crianças em escola de Toulouse. É 'djihadiste', tem 23 anos e foi treinado no Paquistão...
Toulouse : le suspect est un djihadiste français de 23 ans
Mots clés : Tuerie De Toulouse, Toulouse
Par Jean-Marc Leclerc, lefigaro.fr, Marie-Estelle Pech, Cyrille Vanlerberghe,Christophe CornevinMis à jour | publié Réactions (307)
Par Jean-Marc Leclerc, lefigaro.fr, Marie-Estelle Pech, Cyrille Vanlerberghe,Christophe CornevinMis à jour | publié Réactions (307)
Le suspect cerné par le Raid s'appelle Mohammed Merah et se revendique d'al-Qaida. Il était sur les fichiers des RG depuis son arrestation en Afghanistan en 2007, pour avoir posé des bombes.
Le suspect des meurtres de Toulouse et de Montauban, cerné par la police au 17 rue du Sergent-Vigné à Toulouse, est un Toulousain français d'origine algérienne qui semble s'être entraîné au djihad (guerre sainte) dans les zones troublées de la frontière pakistano-afghane. Il a 23 ans (né le 10 octobre 1988 à Toulouse) et s'appelle Mohammed Merah.
Ses deux frères sont aussi détenus par la police qui cherche à vérifier leurs rôles dans l'affaire. L'un d'eux est «connu pour avoir des convictions radicales», d'après le ministre de l'Intérieur. Sa mère, habitant dans le quartier du Mirail à Toulouse, a été amenée sur les lieux par la police, mais n'a pas voulu entrer en contact avec lui, déclarant ne plus avoir d'influence sur lui, comme c'est le cas pour beaucoup de djihadistes qui s'éloignent de leur famille. Le fait qu'il soit parti au Pakistan à deux reprises montre qu'il a des liens avec des réseaux islamistes organisés.
Il était connu de la police à Toulouse pour des affaires de droit commun, dont certaines avec violence. Son avocat pour ces délits, maître Christian Etelin a expliqué sur BFMTV que son client était «doux et courtois», qu'il n'aurait pas qui était toujours resté très discret sur ses positions religieuses et politiques. Il habitait d'après ce dernier dans le quartier populaire des Izards, dans le nord est de Toulouse, «un coin connu pour des affaires de drogue», ajoute l'avocat.
Il a travaillé comme carrossier dans un garage automobile.
Il avait tenté de réjoindre l'Armée en 2008, mais sa candidature avait été rejetée à cause de ces antécédents judiciaires. En 2010, il tentait cette fois d'entrer à la Légion étrangère mais était parti de lui même avant de passer les séries d'évaluations.
«Il se revendique être un moudjahidine (combattant de Dieu), appartenir à al-Qaida et avoir voulu venger les enfants palestiniens autant qu'avoir voulu s'en prendre à l'armée française compte tenu de ses interventions à l'extérieur», a raconté Claude Guéant. Il parle beaucoup, tient des propos décousus, à tendance antisémite et djihadiste, a ajouté le ministre de l'Intérieur.
Le suspect a fait deux voyages, l'un au Pakistan et l'autre en Afghanistan. Il a été arrêté à Kandahar, dans le sud de l'Afghanistan, en 2007.
«Il était dans le collimateur de la DCRI (Direction centrale du renseignement intérieur) comme d'autres, depuis les deux premiers attentats (contre des militaires à Toulouse et Montauban)», a indiqué une source proche de l'enquête....>>
Ses deux frères sont aussi détenus par la police qui cherche à vérifier leurs rôles dans l'affaire. L'un d'eux est «connu pour avoir des convictions radicales», d'après le ministre de l'Intérieur. Sa mère, habitant dans le quartier du Mirail à Toulouse, a été amenée sur les lieux par la police, mais n'a pas voulu entrer en contact avec lui, déclarant ne plus avoir d'influence sur lui, comme c'est le cas pour beaucoup de djihadistes qui s'éloignent de leur famille. Le fait qu'il soit parti au Pakistan à deux reprises montre qu'il a des liens avec des réseaux islamistes organisés.
Il était connu de la police à Toulouse pour des affaires de droit commun, dont certaines avec violence. Son avocat pour ces délits, maître Christian Etelin a expliqué sur BFMTV que son client était «doux et courtois», qu'il n'aurait pas qui était toujours resté très discret sur ses positions religieuses et politiques. Il habitait d'après ce dernier dans le quartier populaire des Izards, dans le nord est de Toulouse, «un coin connu pour des affaires de drogue», ajoute l'avocat.
Il a travaillé comme carrossier dans un garage automobile.
Il avait tenté de réjoindre l'Armée en 2008, mais sa candidature avait été rejetée à cause de ces antécédents judiciaires. En 2010, il tentait cette fois d'entrer à la Légion étrangère mais était parti de lui même avant de passer les séries d'évaluations.
Un barbu discret
Un voisin qui habite dans le même immeuble que lui le décrit comme «un barbu discret» qui n'a «jamais rien fait de particulier». Le petit immeuble de quatre étages est habité par une population très mélangée et se trouve au milieu d'un voisinage pavillionnaire très calme, témoignent des voisins qui habitent une maison faisant face au suspect. Des témoignages évoqués par le procureur de Paris François Molins le disaient «blanc», avec «une silhouette plutôt fine, d'environ 1,70 m». Un témoin avait dit avoir vu une mini-caméra sanglée sur son torse.«Il se revendique être un moudjahidine (combattant de Dieu), appartenir à al-Qaida et avoir voulu venger les enfants palestiniens autant qu'avoir voulu s'en prendre à l'armée française compte tenu de ses interventions à l'extérieur», a raconté Claude Guéant. Il parle beaucoup, tient des propos décousus, à tendance antisémite et djihadiste, a ajouté le ministre de l'Intérieur.
«Il était dans le collimateur de la DCRI (Direction centrale du renseignement intérieur) comme d'autres, depuis les deux premiers attentats (contre des militaires à Toulouse et Montauban)», a indiqué une source proche de l'enquête....>>
Galeria de fotos do enterro das vítimas do tiroteio de Toulouse em cemitério de Jerusalém...
En Israël, émoi aux obsèques
des victimes de la tuerie de Toulouse
EN IMAGES - Dans une atmosphère de vive douleur et d'émotion, les obsèques des quatre victimes juives de la tuerie de Toulouse se déroulaient mercredi matin dans un grand cimetière de Jérusalem.
Encyclopaedia Britannica abandona o papel - Reproduzido do Valor Econômico, 14/3/2012; intertítulo do OI | Observatório da Imprensa | Observatório da Imprensa - Você nunca mais vai ler jornal do mesmo jeito
Por David Gelles em 20/03/2012 na edição 686
Encyclopaedia Britannica abandona o papel - Reproduzido do Valor Econômico, 14/3/2012; intertítulo do OI | Observatório da Imprensa | Observatório da Imprensa - Você nunca mais vai ler jornal do mesmo jeito
TEMPOS MODERNOS
Encyclopaedia Britannica abandona o papel
Reproduzido do Valor Econômico, 14/3/2012; intertítulo do OI
Depois de 244 anos, a Encyclopaedia Britannica vai parar de publicar sua versão impressa, de 32 volumes. Em vez disso, vai concentrar-se em seus esforços digitais, em um marco que ressalta a mudança de rumo dos produtores de conteúdo na era da internet. Publicada pela primeira vez em Edimburgo, na Escócia, em 1786, a Encyclopaedia Britannica imprimiu mais de 7 milhões de coleções, tornando-se pedra de toque cultural à medida que o conhecimento era democratizado nos séculos 19 e 20.
“Estou de coração partido”, disse A.J. Jacobs, que leu toda a Encyclopaedia Britannica para seu primeiro livro, The Know-It-All (O Sabe-Tudo, em tradução livre). “Havia algo tão maravilhosamente concreto na versão impressa, e eu amava a ideia de que todo conhecimento do mundo podia estar contido naquelas páginas.” O explorador Ernest Shackleton levou alguns volumes da enciclopédia em sua malsucedida expedição para a Antártica, e os teria queimado, página por página, para manter-se aquecido. “Você não pode fazer isso com a internet”, disse Jacobs.
Jorge Cauz, presidente da companhia Encyclopaedia Britannica, disse que abandonar a publicação dos volumes impressos era um passo necessário para a evolução da companhia. “Nós vimos há algum tempo que isso aconteceria”, afirmou. “Não se trata de nos defendermos da Wikipedia, mas precisamos diversificar e digitalizar.” O crescimento da web reduziu drasticamente as vendas da Britannica. De um pico de 120 mil coleções em 1990, o movimento caiu para apenas 8,5 mil coleções da edição vendida em 2010.
“Substituímos dinheiro impresso por trocados digitais”
Ao apostar na web, Cauz vai entrar em uma disputa direta com a Wikipedia, a enciclopédia online gratuita e cujo conteúdo é feito pelos próprios usuários. A Wikipedia tem largamente substituído a Britannica como principal fonte de informação. A Wikipedia tem mais de 3,7 milhões de verbetes, frente aos 100 mil da Britannica. Cauz disse que os verbetes da Britannica são checados por editores profissionais, o que os torna mais confiáveis que os da Wikipedia. Mesmo isso, no entanto, não a torna à prova de falhas, ele reconheceu. “Não vamos ser 100% precisos durante o tempo todo”, afirmou.
A Britannica também vai enfrentar uma tarefa difícil para fazer seu conteúdo fácil de achar no meio online. Cauz disse que tem boas relações com o Google e o Bing, o serviço de busca da Microsoft, mas que melhorar sua posição no ranking de busca permanecia um desafio. “Os algoritmos deles não diferenciam fato de ficção e conteúdo de boa qualidade do que não é de boa qualidade”, disse Cauz. “Nós poderíamos estar ganhando rios de dinheiro se fôssemos como a Wikipedia.”
O acesso online à Britannica estará disponível pelo preço de US$ 70 por ano – a cobrança será por número de usuários para empresas e organizações – e parte do conteúdo estará, em breve, disponível de maneira gratuita a todos os usuários. A companhia Encyclopaedia Britannica tem se afastado da enciclopédia. Os softwares educacionais agora representam 85% das receitas, enquanto 15% do faturamento vem das vendas das versões impressa e online do conteúdo da enciclopédia. Cauz disse que a companhia – uma empresa de capital fechado – tem sido lucrativa há oito anos, embora seja menor do que costumava ser. “Substituímos dinheiro impresso por trocados digitais”, disse Cauz.
[David Gelles, do Financial Times, de Nova York]
A nudez é mídia de penetração eficiente... Mulheres iranianas no exílio fazem discurso com corpo nu contra opressão à mulher
9/03/2012
às 19:00 \ Vasto MundoMulheres iranianas no exílio ficam nuas em vídeo de protesto contra a discriminação e os maus tratos
A história de tirar a roupa para protestar aumenta cada vez mais.
Agora, são cidadãs iranianas no exílio — que, em seu país, são perseguidas pela Polícia da Virtude se saírem às ruas de cabeça descoberta — as que lançaram calendário de fotos em que aparecem nuas. É uma forma de protesto contra os maus tratos e a discriminação às mulheres praticados no Irã em nome do Islã.
O calendário foi lançado no dia 8 passado, o Dia Internacional da Mulher. A ideia é juntar forças ao protesto da blogueira egípcia Aliaa Magda Elmahdy, que postou várias fotos de si mesma e do namorado nus, e por isso sofreu ameaças de morte.
O calendário pode ser baixado – de graça – ou comprado – e a renda será revertida para apoiar as mulheres e a liberdade de expressão -, no blog da ativista Maryam Namazie, radicada em Nova York, que tem a inscrição: “nada é sagrado”, além de contar um convite para juntar-se ao movimento contra uma sociedade violenta, o racismo, o sexismo, o assédio sexual e a hipocrisia.
Namazie, em seu blog, diz que “o islamismo e a direita religiosa são obcecados com os corpos das mulheres e exigem que sejam velados, amarrados e amordaçados. Assim sendo, quebra de tabus, como a nudez, é uma importante forma de resistência.”
Vejam o que dizem as mulheres que participaram do calendário, no vídeo abaixo. Depois do vídeo, se quiserem, vocês podem consultar a tradução das curtasfrases ditas em farsi (idioma do Irã) e que aparecem em inglês na tela.
Mulheres iranianas protestam com calendário revolucionário de fotos com nudez
No lugar de quem quer mas não pode …
Eu acredito na igualdade entre mulheres e homens …
Minha nudez é um ”não” ao apedrejamento até à morte …
Meus pensamentos, meu corpo, minha escolha …
Minha nudez é um “não” à política do Islã …
Por que não?
Eu sou uma mulher …
Eu sou uma mulher …
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Tags: ameaça de morte, apedrejamento, discriminação e opressão à mulher,Islam, mulheres iranianas no exílio, nudez, protesto
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